L'illusion du sort figé

Tokyo, 2052. Les néons projetaient une lueur artificielle sur les rues silencieuses. Dans un monde où la sentiment de la destinée était devenue une vision des cartésiens maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était désormais à suivre d’altérer la perception des secondes, de ralentir la pensée pour enjôler les réduites détails de l'avenir similaire. C’était dès lors qu’un voyant pratiquait son art, utilisant cette pratique pour déceler les instants à venir. Les leçons de la voyance par mail lui avaient accepté que n'importe quel connaissance était une marque, un fragment du tangible que l’esprit pouvait enthousiasmer si les modalités étaient réunies. Mais ici, dans cette grande ville où les siècles était devenu un paramètre malléable, ces visions n’étaient plus de plus précieuses qu’autrefois. Assis dans son cabinet, il analysait les déclarations finalités de ses dernières consultations. Ses divinations, d’ordinaire précises et infaillibles, montraient dès maintenant des anomalies subtiles. Certaines visions semblaient se réécrire d’elles-mêmes, tels que si le destin refusait d'étudier la ligne prévue. Les enseignements de la voyance par mail avec photo suggéraient que les dessins perçues demain étaient des instantanés, des fragments figés qui ne changeaient pas… à moins qu’une cadence extérieure ne les altère. C’était ce qu’il commençait à suspecter. Il fit défiler les enregistrements de ses dernières débat. Dans une prédiction présente, il avait perçu un client rencontrer une féminitude inconnue sur un pont, marqué par une bouquet battante. Pourtant, dans une autre consultation, cette scène avait changé : la patiente n’était plus là, remplacée par un autre mariage, tels que si le futur s’était effacé et réécrit d’une autre style. Les enseignements du voyant par mail lui revinrent dans ce cas. Le vies n’était par contre pas de plus linéaire qu’on le pensait. S’il pouvait sembler observé, il pouvait de plus être influencé. Et s’il y avait un sens en mesure de réécrire les prédictions, à ce moment-là il n’était plus rien que centre de découvrir l’avenir… mais de comprendre qui, ou quoi, était en train de le parfaire. Il observa la commune par la fenêtre. Tokyo, 2052. Un univers où les siècles était censé représenter maîtrisé. Pourtant, il venait de découvrir qu’il était toutefois en train d’échapper à tout contrôle.

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